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Affiches Parisiennes : l’IA comme terrain de jeu

  • Photo du rédacteur: benjamin. brl
    benjamin. brl
  • 2 juin
  • 2 min de lecture

Récemment invitée par Affiches Parisiennes pour un entretien long format autour de son parcours, de son entreprise MyDataMachine, et de sa vision de l’intelligence artificielle.

Un parcours atypique, mais cohérent

Lors de l’interview, Céline revient sur ce fil qu’elle n’a jamais vraiment lâché : les maths, la tech, la création. Formée à l’intelligence artificielle dès 2017, elle mène en parallèle une carrière de mannequin international, avant de croiser ces deux univers à travers une série artistique alimentée par l’IA générative.

Ce questionnement sur la perception de la beauté par les algorithmes marquera un tournant. Très vite, elle comprend que l’IA ne se limite pas à la recherche ou aux applications techniques : elle structure notre monde. Il devient évident qu’elle veut y contribuer et surtout, le faire autrement.


Créer une IA utile, ancrée, responsable

C’est ainsi que naît MyDataMachine en 2021.Céline y développe avec son associé une offre autour de la donnée, de la qualité des modèles et de leur mise en œuvre dans des secteurs aussi variés que la mode, le e‑commerce ou la sécurité.

Elle évoque aussi son engagement au sein de l’Observatoire de l’Intelligence Artificielle, où elle travaille sur les enjeux de souveraineté technologique, de chaîne de valeur, et de transparence dans l’usage des données.Avec un objectif clair : contribuer à construire une IA plus éthique, plus souveraine, plus ouverte.


Diversité, représentations, accès : les sujets qui comptent

Céline le rappelle aussi : être femme dans l’IA, c’est encore rare. Elle parle des barrières invisibles, de la solitude dans les meet-ups tech, du doute qu’on intériorise et de l’importance de montrer que d’autres voies sont possibles.

Aujourd’hui, elle partage ce message : non, il n’y a pas de sujet “réservé” aux hommes. Et oui, les jeunes filles peuvent (et doivent) se projeter dans ces filières. Chez MyDataMachine, 80 % des effectifs sont féminins. Ce n’est pas un hasard.


Un échange à retrouver en intégralité

Cette interview donne à voir, sans mise en scène, une trajectoire singulière et une posture lucide sur les enjeux qui traversent la tech aujourd’hui : automatisation, biais, souveraineté, transformation des métiers.

Un moment de parole précieuse pour celles et ceux qui construisent, codent, décodent.


Le 26 Mai 2025

 
 
 

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